Quand les monomakers se font entendre
[vc_row][vc_column][vc_column_text]Un maker, c’est quelqu’un d’inventif qui fabrique lui-même des objets utiles à sa vie quotidienne, un informaticien qui bricole ses propres drones ou robots, ou encore un artiste qui détourne des objets… Autant de personnes qui adhèrent à la philosophie du faire soi-même et de l’autonomie d’accès aux objets de consommation, sans passer par le mass-market.
Né aux États-Unis au début des années 2000, le mouvement maker est en fort développement depuis dix ans : c’est le résultat de la convergence entre la culture numérique du libre et de l’open source d’un côté et des savoir-faire artisanaux plus traditionnels de l’autre.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Découlant de ce phénomène mondial, une nouvelle vague de commerces voit le jour : celle des « monomakers »
Le monomaker se caractérise par l’expertise qu’il a acquise dans la fabrication d’un seul et unique objet, il tient en général boutique où il va produire sous nos yeux l’objet de son savoir-faire ou de son obsession !
Ces magasins mono-produit peuvent dès lors proposer une offre de qualité, et une expertise sans égale.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]La Start-up Cabaïa, qui conçoit des bonnets avec des pompons aimantés interchangeables, est devenue très rapidement une référence ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »6086″ img_size= »full »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »6087″ img_size= »full »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]La food tech est au coeur de cette tendance. La boutique de L’éclair de génie à Paris ou Jacques Genin qui fait les meilleurs mille-feuilles ou les « dunes blanches » du Cap Ferret expert en chouquettes. Ou encore « Confiture Parisienne » où vous pouvez voir se confectionner devant vous et dans des chaudrons en cuivre la confiture de votre grand-mère mais en mieux ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »6088″ img_size= »full »][vc_column_text]
© Eclair de Génie
[/vc_column_text][vc_single_image image= »6094″ img_size= »full »][vc_single_image image= »6105″ img_size= »full »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_images_carousel images= »6106,6107″ img_size= »full »][vc_column_text]
©Anaïs Costet
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Dans le marais également, la boutique Le Carré de pain de mie, propose des pains de mie à base de farine Japonaise qui donne un pain de mie mou ! ou fuka fuka, vous avez donc le choix entre pain de mie et … pain de mie. Ou des sandwichs absolument incroyables ! Ce qui guident ces monomakers, c’est avant tout le partage de leur passion avant toute volonté entrepreneuriale.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »6091″ img_size= »full »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Mais comme les réseaux sociaux vivent du partage, l’obsession des monomakers peut vite se transformer en communauté et qui va assez rapidement pousser le monomaker à devenir entrepreneur ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]
Nos conseils
1-
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2-
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